Ces derniers temps sur Facebook, la littérature autour du sujet d'une éducation sans fessée est très présente. Je vous propose ici un article sur des ressources existant sur la toile.

J'essaie autant que faire se peut avec mon conjoint d'exercer ce genre d'autorité. Un défi de tous les jours, plus ou moins facile à respecter. Un choix guidé par ce que l'on aurait aimer vivre nous-mêmes enfant.

Tout sauf la ceinture, l'humiliation, la douleur, l'éducation qui pousse à la soumission ou à la rébellion.

Je trouve beaucoup d'inspiration dans "La discipline positive: en famille et à l'école, comment éduquer avec fermeté et bienveillance" de Jane Nelsen. Ce livre offre des clés, des outils concrets ainsi qu une méthode d apprentissage ni permissive, ni punitive, dans un cadre à la fois ferme et bienveillant.

Ferme, pour respecter le monde de l adulte et bienveillant, pour respecter celui de l enfant. Un nouvel élan éducatif !
Cette méthode permet aux enfants, quel que soit leur âge, de développer avec confiance les compétences de vie dont ils ont besoin pour devenir des adultes épanouis, autonomes, responsables et engagés dans la société.
Mettre en confiance, donner des outils d'encouragement, impliquer et faire grandir l'enfant, voilà ce que propose cet ouvrage à travers de nombreux cas pratiques du quotidien.

Je vous suggère un document illustré à partager sans modération ou son format livret

7 astuces pour éduquer son enfant sans fessée

Lorsqu’on voit les débats soulevés par la remarque du Conseil de l’Europe à propos de l’interdiction de la fessée et de la gifle, on sent combien certains parents se sentiraient désarmés une fois privés de ces outils ancestraux d’autorité… et sans doute de gestion du stress face au comportement jugé inadapté d’un enfant.

Alors plutôt que de relancer le débat à ce sujet en mode pour ou contre, je voudrais vous parler des techniques que j’utilise pour ne jamais avoir à lever la main sur ma fille :

(La suite ici)

ARRÊTER LES FESSÉES, POURQUOI ?

Élever des enfants n'est pas facile. Mais aucun métier n'est facile. La différence entre l'exercice d'un métier et la fonction de parent, c'est qu'aucun apprentissage ne vient apporter au parent le minimum des connaissances nécessaires pour qu'il se tire convenablement de sa tâche. Ce parent est pourtant abreuvé, auprès de sa famille, de ses relations ou des médias, de beaucoup de conseils, mais souvent contradictoires, parmi lesquels il a bien du mal à choisir. Et puis il appartient à une culture, il a reçu lui-même un certain type d'éducation dont il est tenté de reproduire spontanément le modèle.

(La suite dans ce site)

Je partage ma réflexion avec une amie sur la page Facebook de Martinikids.

Elle a fait un exercice intéressant avec des enfants. Un petit exercice de communication avec leurs parents.

L'une d'elle avait perdu son père, délicat de gérer ce genre de situation. J'ai moi-même vécu cela avec un enfant de maternelle, lors de la confection d'un cadeau de fête des pères. Je vous transmets ma réponse.

La petite fille a perdu son père, mais il est toujours présent dans son cœur, donc d'une certaine manière, il vit toujours en elle et sera présent toute sa vie.

Elle aura donc tout le loisir de pouvoir communiquer par toutes les façons qu'elle souhaite avec lui (chanter, parler, chuchoter, penser, rêver, dessiner, peindre...).

Le fait qu'elle ne puisse plus le voir n'implique pas que la relation ou la communication doivent s'éteindre. Au contraire... Et si la maman peut se sentir gênée, c'est compréhensible. On peut accompagner cette gêne, cette colère...

Cette perte pour l'enfant peut être délicate à expliquer, discuter. Si l'on pose les mots, l'enfant peut tout comprendre. Dire à cette mère "je comprends que vous soyez (en colère, gênée...), je le serais tout autant si c'était à propos de mon enfant. Cela montre que vous êtes une mère protectrice et bienveillante. Votre enfant vous parle et souhaite réinstaurer une communication qui apaise sa peine d'avoir perdu un être cher. Cela n'enlève en rien l'amour et la confiance qu'elle vous porte. Elle a juste besoin de nourrir cette part d'elle-même qui a été trop tôt coupée.

En lui laissant la possibilité de rétablir ce lien, vous lui donnez un message fort. Vous lui faites entendre que vous la comprenez, que vous l'aimez et qu'elle a le droit d'avoir de la peine. Mais surtout qu'elle a le droit de réenchanter sa vie malgré sa douleur. Elle vous le rendra au centuple...".

Belle journée à tous.

Notre fille avait très envie de trouver un trésor dans le jardin. Quelle idée, où a-t-elle pêché ça?

Sans doute l'approche de Pâques et la chasse aux oeufs évoquée à l'école.

Qu'à cela ne tienne. Prenez un papa motivé, une idée de capitaine pirate qui a caché un trésor, une carte au trésor, des bibelots ou oeufs ...

Vous avez tous les ingrédients pour un moment magique, tout simple à la maison.

Il a déniché une image de carte au trésor sur le net, derrière laquelle il a schématisé le plan du jardin. Il a marqué des pierres avec des ronds barrés pour visualiser les lieux à creuser et retrouver les trésors enterrés (protégés).

Et il a accompagné notre fille armée d'un râteau et parée pour l'assaut du jardin!

Une belle occasion de développer le langage, enrichir le vocabulaire, faire des maths : se situer dans l'espace (à droite, sous la pierre, derrière l'arbre...), découvrir le monde du vivant (plantes, insectes, escargots, terre...) et du non vivant (pierre, cailloux, râteau, pelle, bottes...).

Le bonheur, c'est un moment simple, partagé avec son enfant, avec ce que l'on a déjà, une pointe de fantaisie, une place à la part d'enfant en chacun de nous... Offrir sa simple présence, un moment dédié, où le temps s'arrête au profit de l'ici et maintenant...

A bientôt...

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