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    Du bonheur en Martinique...

     

    Quelques minutes pour exprimer ce qui vous rend heureux en général, heureux en Martinique...

    Qu'est-ce qui pourrait augmenter votre niveau de bonheur ?

     

    Je vous invite à remplir ce formulaire sincèrement, soyez authentique, créatif...

     

    Du bonheur en Martinique...

     

     

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    1er atelier du bonheur

     

     

    Il devait se faire à la rivière en 1ère partie...

    Le temps étant à la pluie en ce début de matinée, sortie annulée...

     

     

    1er atelier du bonheur

     

    Atelier confirmé, nous avons donc fait connaissance pour ceux qui ne nous connaissaient pas encore. Beaucoup d'enfants, ravis de se rencontrer, de courir, construire, peindre...

     

    Après une courte visualisation sur un souvenir heureux, nous nous sommes installés pour réfléchir à ce qui nous rend heureux. "Je suis heureux quand....".

    Puis, grand moment de créativité sur galet (merci Marie-Catherine pour cette délicieuse idée).

    Différentes techniques expliquées, et on se laisse aller...

    Les parents étaient enchantés de se rencontrer, de passer du temps différemment qu'à l'habitude avec leurs enfants.

     

    Les enfants se sont laissés porter par leur élan. Entre jeux, créativité, détente...

     

    1er atelier du bonheur     1er atelier du bonheur

     

    Martinikids a réussi son pari du bonheur... Gratitude.

     

    Si vous souhaitez en organiser un en ce lieu délicieux ou chez vous, contactez-moi.

    martinikids972@yahoo.fr

    0696 30 55 75

     

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    Martinikids vous partage avec plaisir l'interview de Catherine SALOMON, Orthophoniste, Vice présidente de l’AMIPRO, Présidente d’ATOUDON, Auteure de « Réussir sa Vie au quotidien ».

     

    Catherine SALOMON nous éclaire sur ce métier parfois mal connu des parents, dont les suggestions de consultation peuvent parfois venir de l'école... Faire appel aux compétences d'un(e) orthophoniste ne doit pas être perçu comme une stigmatisation, mais comme une opportunité dans le parcours de l'enfant de le faire progresser là où l'enseignant n'a pas la formation spécifique nécessaire.

     

    Bâtisseur de bonheur :

    Catherine SALOMON

    Orthophoniste

    Vice présidente de l’AMIPRO

    Présidente d’ATOUDON

    Auteure de « Réussir sa Vie au quotidien »

     

    Quelles sont les difficultés auxquelles sont confrontés  les parents qui viennent vous voir ?

     

    Les enfants que je reçois ont des difficultés d’apprentissage. Ils présentent le plus souvent des troubles langagiers (oral et/ou écrit).  Les parents consultent à la demande d’un médecin et souhaitent que leurs enfants améliorent leurs résultats scolaires et/ou leurs capacités de communication.

     

    Quelle définition pourriez-vous donner de votre profession ?

    L’orthophoniste est un(e) professionnel(le) de la santé qui reçoit des enfants et des adultes présentant des troubles très variés. Les plus connus sont les troubles du langage (oral et écrit). L’orthophoniste reçoit également des personnes présentant des troubles de la déglutition, de la mémoire, de la logique et du raisonnement mathématique….. Son champ de compétence est très vaste. L’origine de ces troubles est tout aussi variée.

     

    Quelles améliorations votre méthode apporte-t-elle ?

    L’objectif de toute prise en charge orthophonique à mon sens est de permettre à nos patients d’acquérir des capacités fonctionnelles dans le domaine pour lequel ils consultent. Dans certains cas nous pouvons enrayer le trouble dans d’autres cas nous pouvons le réduire et parfois il s’agit de maintenir une compétence le plus longtemps possible. Il n’y a pas une méthode en orthophonie mais la méthode qui conviendra le mieux à chaque patient en tenant compte de tous les éléments de son histoire de vie.

     

    Comment en êtes-vous arrivé à ce métier ? Qu’est-ce qui vous a motivé ?

    Sourire… Petite j’étais passionnée par une émission télévisée dont le titre était « mes mains ont la parole ». Il s’agissait d’une histoire racontée en langue des signes. J’étais impressionnée par la gestualité et par les émotions que l’on peut transmettre en racontant une histoire. Le métier d’orthophoniste est venu à moi.

     

    Quels conseils au quotidien pourriez-vous donner aux familles pour plus de mieux-être dans leur vie ?

    Vaste question…. Faire de son mieux à chaque instant et  chercher à améliorer ses points dits faibles. Faire de chaque faiblesse une force.

    L’association AMIPRO (Association  Martiniquaise d’Interventions en faveur de la Prévention et de la Recherche en Orthophonie) dont je fais partie contribue notamment à informer les parents  lors d’actions de prévention. Il s’agit d’actions de soutien à la parentalité.  Voilà en quelques mots ce que je pourrais dire.

     

    Avez-vous des conseils de lecture, de vidéos, d’auteurs, de sites internet ?

    Le site www.info-langage.org

     

    Selon vous quels sont les 3 choses les plus importantes dont un enfant a besoin ?

    Difficile de n’en choisir que 3. Un enfant a besoin d’un cadre bienveillant où il pourra être un enfant épanoui, afin de se préparer à devenir un adulte heureux. Pour cela il lui faut notamment de l’amour, de l’écoute, des soins et des activités épanouissantes.

     

    S’il existait une école idéale selon vos aspirations comment la verriez-vous ?

    Ce serait une école de la vie intergénérationnelle qui solliciterait tous les types d’intelligence. Une école ouverte sur le Monde dans un Monde ouvert sur l’école. On ne dirait plus « sortir de l’école» tant l’être humain serait exercé au sein d’une telle école à trouver sa place dans la société.

     

    Comment y verriez-vous les adultes (enseignants et encadrants) ?

    Les adultes ? Ils sauraient apprendre des enfants et seraient des encadrants bienveillants. Ils sauraient garder leur âme d’enfant.

     

    Si un pas pouvait être engagé pour plus de mieux-être à l’école actuelle, que préconiseriez-vous ?

    Je me demande souvent comment nous voulons que nos enfants soient grâce à l’école.  Non pas ce qu’ils doivent acquérir comme connaissances mais comment ils doivent être ou devenir.  Une fois cette réponse donnée nous saurons quoi faire. Par ailleurs,  je trouve qu’il y a beaucoup d’adultes de bonne volonté au sein des écoles mais qui manquent cruellement de moyens.

     

     

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    Je vous invite à découvrir les saveurs de Waël, site qui propose des paniers de produits frais locaux et sa page facebook. 

     

     

    Martinikids vous partage avec plaisir l'interview de Waël, une jeune femme investie dans la promotion du manger local, des valeurs humanistes et bienveillantes pour la société et la planète.

    Une interview pédagogique... Un petit clin d'oeil pour ceux qui ont un projet de société qui met en valeur les potentialités de l'île, qui ont vécu 2009 et qui se disent que le bon sens passe par là...

     

     

    Pouvez-vous présenter « les jardins de Waël » ?

    « Le jardin de Waël » est un lieu puissant et onctueux où on trouve refuge, protection, évasion, liberté, en symbiose avec la nature. « Le jardin de Waël » a la volonté de s’ériger en patrimoine avec une dimension dynamique, irréductible, qui change chaque jour avec les saisons et l’Univers, illustrée par ses arbres, ses plantes, ses fruits, ses fleurs, ses insectes…

    Ce partage, ce mélange d’odeurs, de couleurs, de saveurs, de sensations…la magie « du jardin de Waël ».


     

    Où et depuis quand exercez-vous ?

    L’exploitation se trouve sur la commune du François, quartier Bellevue.

    C’est une exploitation familiale, où j’ai toujours exercé d’une manière ou d’une autre dès ma plus tendre enfance (rire), et depuis, 2013 je suis jeune agricultrice (de façon concrète) en phase d’installation.

     

    Quelle est l’utilité d’une telle exploitation particulièrement sur notre territoire ?

    Une exploitation où règne le respect des êtres vivants (les végétaux, les animaux…etc.), où est établie de façon naturelle le partage et la richesse des choses simples et vitales est plus que primordiale pour notre quotidien en tant qu’Homme.  

    Pour le maintien de nos ressources, il est important de mettre en place et de privilégier une agriculture saine.

    De même, une telle exploitation est également motivée par l’idée de partage. D’une part, partager et expérimenter le savoir et le savoir-faire de mon père et d’autres agriculteurs martiniquais, caribéens et internationaux. D’autre part, partager avec la population, avec une certaine priorité donnée aux plus jeunes.

    Enfin, « Le jardin de Waël » est une incitation à manger autrement ; c’est à dire « bien manger » mais également nous convaincre qu’il n’est pas négligeable et qu’il est indispensable de limiter notre dépendance alimentaire à l’extérieur.

     

    Comment en êtes-vous arrivé à ce métier ? Qu’est-ce qui vous a motivé ?

    A cette question il y aurait plusieurs raisons :

    Je suis fille d’agriculteur et de famille d’agriculteurs. Mon prénom en dit long « Waël », variété d’igname cous couche.

    Une passion démesurée pour ce métier, qui n’est pas un métier en ce qui me concerne mais un art, une philosophie et mode de vie !

    Et puis, deux prises de conscience :

    -          Un privilège de nourrir  les Hommes

    -          Un métier qui permet d’agir directement et concrètement sur le monde qu’on souhaite laisser à nos générations futures.

     

      Quels conseils au quotidien pourriez-vous donner aux familles pour plus de mieux-être dans leur vie ?

    Un Koan zen peut illustrer cette réponse :

    « Les ignares se délectent du faux clinquant et de la nouveauté. Les gens cultivés trouvent leur plaisir dans l'ordinaire. »

     

    Plus récemment Colin Beaven explique dans No Impact man que :

    « Les psychologues positifs ont constaté que l’acquisition d’un nouveau téléphone portable, d’une voiture ou d’une maison ne nous procure qu’une bouffée de plaisir éphémère. Pour atteindre de nouveau ce pic de bonheur, il nous faut un autre shoot, un autre mobile, une autre bagnole. C’est ce mode de recherche du plaisir qu’ils ont nommé le « manège hédoniste ». 
    La vie des gens les plus heureux, ont découvert les psys, n’est pas régie par ce cycle infernal. Les gens heureux n’ont pas constamment besoin de nouveaux trucs. Les gens les plus satisfaits de leur vie sont ceux qui entretiennent de forts liens sociaux, trouvent une signification dans leur activité professionnelle, exercent leurs talents et aspirent à un but supérieur. En d’autres termes, les psychologues positifs ont confirmé scientifiquement ce que les partisans de la vie simple professent de manière anecdotique depuis si  longtemps : si nous accordions moins d’importance aux acquisitions, nos existences seraient plus riches, plus gratifiantes, les ressources seraient mieux gérées, la planète et ses habitants plus heureux. »

     

    En plus de cette simplicité (sans devenir ascète), il me semble qu’il est indispensable de bien manger et de s’intéresser à ce que nous mangeons, de faire (souvent) du sport et…un peu de méditation.

     

    S’il existait une école idéale selon vos aspirations comment la verriez-vous ? Comment y verriez-vous les adultes (enseignants et encadrants) ? Si un pas pouvait être engagé pour plus de mieux-être à l’école actuelle, que préconiseriez-vous ?

    J'imagine une école respectueuse :

    Une école bienveillante respectant  l'individualité de chacun.

    Une école où l'on respecterait les rythmes biologiques de l'enfant. Par exemple le créneau d'ouverture du matin serait plus large permettant ainsi à chacun d'arriver à son rythme.

    Une école en trois niveaux avec une mixité des âges permettant ainsi l'émulation, le partage, l'estime de soi, l'entraide... comme le préconise la pédagogie Steiner-Waldorf:

    - le jardin d'enfant jusqu'à 7 ans

    - Le premier cycle de 7 à 14 ans

    - le second cycle de 14 ans à 18ans

     

    Ainsi, les classes seraient pourvues de plus petits effectifs permettant un meilleur encadrement et un apprentissage de qualité.

    Une école où les matières purement académiques auraient autant d'importance que les enseignements artistiques et les activités pratiques, accordant ainsi une grande importance aux apprentissages manuels et artistiques.

    Une école sans compétition,  où les enfants seraient valorisés sans aucune hiérarchisation, encourageant les talents et aptitudes particulières rencontrées en chaque enfant. Ainsi ils seraient stimulés à s'entraider et à progresser sur tous les tableaux.

    Que les enfants puissent apprendre par manipulation  leur permettant un accès aux savoirs de manière  concrète.

    Un vrai accent sur le savoir être et savoir vivre ensemble.

    Responsabiliser les enfants face à leur école en leur proposant de tenir un potager, de participer à l'élaboration des repas, de nettoyer les parties communes (tri sélectif- sortir les poubelles). Que les enfants soient responsables de leur école.

     

    Une école ouverte sur:

    -  La nature:

    favoriser au maximum  les sorties extérieures (fermes, jardins aux plantes, forêts, terrains agricoles, plage et mer...) pour que les apprentissages  soient confortés  par une démonstration.

    - Le monde:

    La possibilité  de laisser les parents entrer dans l’école qu'ils puissent  faire partie  du projet  éducatif  selon leurs  compétences. Offrant un partage et un apprentissage encore plus riche et varié.

    Une école où  les parents auraient le choix de la pédagogie  (Steiner, Montessori,  Freinet. ..).

     

    Si nous devions repenser l'école, le corps enseignant serait formé à la psychologie  et au développement  de  l'enfant.  Mais aussi  à la communication  non violente  et l’écoute active (Méthode ESPERE jacques Salomé, Faber et Mazlish, Isabelle Filiozat...).

    Je pense que la première chose à mettre en place serait le désengorgement des classes. Pour permettre  un encadrement  plus individualisé: un encadrant  pour 10 élèves. Si les élèves  étaient  moins nombreux  les enseignants  seraient  plus disponibles. Ce qui permettrait un travail  plus individualisé  et plus en profondeur.

     

    Selon vous quelles sont les 3 choses les plus importantes dont un enfant a besoin ?

    Pour bien se développer, afin d’accéder à une estime de soi et une confiance en soi solide, un enfant  doit pouvoir s’appuyer sur 4 besoins.

    Amour,

    Reconnaissance,

    Sécurité,

    Limites.

     

    Pour aller plus loin:

    Un article sur les 8 besoins de l'enfant

    Une page pour Communiquer avec ses enfants (les besoins)

    Une page sur Une émotion peut en cacher une autre

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  • Bâtisseur de bonheur: Atelier de parents

     

    Je vous invite à découvrir l'Atelier de parents, centre de formation (pleurs et colère, écoute active, gestion de conflits, coaching parental....) qui forme les parents et professionnels de l'enfance à la communication bienveillante. 

     

     Martinikids vous partage avec plaisir l'interview de Myriam Evers, directrice et formatrice inspirante, investie dans le bien-être et l'épanouissement de l'enfant et de la famille.

     

    Bâtisseur de bonheur: Atelier de parents

     

    Quelles sont les difficultés auxquelles sont confrontés  les parents qui viennent vous voir ?

    Les parents sont confrontés à des comportements inacceptables de leurs enfants tels que : manque d’obéissance, mauvaise conduite à l’école ou parfois agressivité.

     

    Quelle définition pourriez-vous donner de votre profession ?

    Je suis formatrice. Facilitatrice et accompagnatrice. Mon métier est d’aider les parents à mieux communiquer avec leurs enfants en les écoutant et en les proposant des outils de communication bienveillante pour une vraie autorité, ni autoritariste ni laxiste, une relation gagnant/gagnant. Je les accompagne dans le dur métier de parent.

     

    Quelles améliorations votre méthode apporte-t-elle ?

    Le but de cette méthode est une relation de confiance et de respect mutuel grâce à une communication franche et ouverte.

    Les parents qui font la formation ont souvent des résultats positifs sur les comportements des enfants grâce à  

     

    3 points qui me viennent à l’esprit :

    -     La compréhension du fonctionnement de l’enfant : les parents apprennent comment leurs enfants fonctionnent et peuvent communiquer sur le même mode

    -          La confiance qu’ils accordent aux capacités de leurs enfants à gérer les situations de conflits, notamment négocier, coopérer, trouver les solutions

    -          Le lâcher prise.

     

    Comment en êtes-vous arrivé à ce métier ? Qu’est-ce qui vous a motivé ?

    Je suis moi-même parent et j’ai eu la « chance » d’avoir un de mes enfants très difficile à gérer, rebelle, colérique, agressif et intouchable. Cet enfant est autiste (trouble de la personnalité) et phobique scolaire et social, mais je l’ignorais à l’époque et j’étais très démunie. J’ai suivi la formation pour être parent et notre relation a complètement changé. En un an, cet enfant est devenu calme et coopératif ! Je me suis dit que si j’y étais arrivée avec cet enfant-là, tous les parents pourraient y arriver. J’ai décidé de changer de métier et de me former pour aider les autres parents. Cette méthode a été une véritable révélation pour moi !

     

    Quels conseils au quotidien pourriez-vous donner aux familles pour plus de mieux-être dans leur vie ?

    Lâcher prise ! Le rôle de parent est bardé de « Il faut », de codes, de règles et d’exigences pas toutes utiles. L’enfant doit être propre, bon élève, poli, gentil, ordonné, obéissant… parfait quoi ! C’est impossible ! Les parents aussi doivent être aimants, constants, responsables… évidemment ! Mais on reste des humains et on se fatigue à essayer d’atteindre un idéal impossible.

    Arrêter de se battre sur tous les fronts. Choisir une ou deux valeurs qui tiennent vraiment à cœur et lâcher pour le reste !...

    La relation avec l’enfant doit être joyeuse et chaleureuse et pas un combat permanent !

     

    Avez-vous des conseils de lecture, de vidéos, d’auteurs, de sites internet ?

    Oui ! Le livre d’Aletha SOLTER « Pleurs et colères des enfants et des bébés » pour les parents d’enfants de 0 à 6 ans.

    Tous les livres et toutes les vidéos d’Isabelle FILLIOZAT pour les autres parents.

     

    Selon vous quels sont les 3 choses les plus importantes dont un enfant a besoin ?

    L’amour que je définirai comme suit :

    -          La sécurité. L’enfant a besoin de ses parents en tant que protecteurs.

    -         La compréhension. Quand l’enfant vit une émotion désagréable ou une détresse : peur, chagrin, frustration, colère même… il n’a pas besoin d’être rassuré, consolé, questionné… il a juste besoin d’être compris !

    -          Le respect. La considération en tant que personne. L’acceptation de qui il est quoiqu’il fasse.

     

    S’il existait une école idéale selon vos aspirations comment la verriez-vous ?

    Un lieu de joie, de plaisir, de jeu où les besoins de l’enfant soient comblés et où l’enfant puisse s’épanouir.

     

    Comment y verriez-vous les adultes (enseignants et encadrants) ?

    Des adultes à l’écoute des capacités et du rythme de chaque enfant. Des adultes bienveillants qui leur apprendraient la bienveillance par l’exemple.

    Moins d’enfants dans les classes ou une pédagogie telle que Montessori qui laisse beaucoup de liberté d’apprentissage et de contacts à l’enfant.

    Une école où l’enfant est au centre.

     

    Si un pas pouvait être engagé pour plus de mieux-être à l’école actuelle, que préconiseriez-vous ?

    Apprendre aux enseignants la communication et les belles pédagogies alternatives telles que Montessori, Steiner, Freinet…

     

    Comment prendre contact avec vous ? Où exercez-vous ?

    Au 0696 92 37 73, sur le site de l'Atelier de parents.

    Le siège de l’association Ateliers Parents se trouve à Rivière Salée, mais je me déplace dans les structures telles que CCAS, ADAFAE, associations, crèches, médiathèques…

     

    Une interview ayant été diffusée sur La Web télé d'Aurélie Surmely, je vous la partage.

     

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